Le recours au viager a certes connu une hausse ces derniers temps à cause du fait que l’offre se présente réellement alléchante. Vous n’êtes pas à tort de penser qu’acheter une maison en viager ou en vendre peut-être avantageux, cependant comme tous les marchés ; des incompréhensions tendent souvent à un jugement négatif. De plus, il n’est pas rare de rencontrer des agences vous émettant des éloges dépassés à son propos. Les vigilances à considérer se posent entre autres au niveau de la notion d’aléa. Toute de suite l’explication.

Qu’est-ce que l’aléa et pourquoi est-ce relatif au viager ?

Rappelons qu’un viager, l’expertise de l’entreprise envisager.be, est une vente immobilière qui repose sur le décès du vendeur et même de son conjoint. Ce décès ne doit être perçu à l’avance, ou être imprévisible. C’est là qu’intervient la notion d’aléa qui décrit les côtés improbables ou notamment les risques liés à la résiliation ou la nullité du contrat. Le plus rassurant pour le vendeur et l’acquéreur c’est de savoir que le viager est un marché immobilier régulé, des codes et des articles mentionnent naturellement les règlementations autour du contrat pour régir le domaine en cas de contentieux. Soit, avant d’annuler le contrat, l’administration compétente est la seule autorité apte à trancher en toute justice et transparence l’avenir de la vente.

Un contrat viager : un contrat aléatoire malheureux

Tant que l’ancien propriétaire est en vie, il est demeure être en possession du bien en toute légalité. Les seuls domaines auxquels il n’a plus droit c’est de revendre ou louer la maison. Du côté de l’acheteur, alors qu’il est difficile de prétendre sur le décès de ce dernier, l’indice principal sur lequel il doit se fier est alors la longévité de l’ancien propriétaire. C’est pourquoi le viager n’est effectif que si le vendeur est un senior idéalement âgé dans les tranches de 70 à 90 ans. Des âges qui font référence à une durée de vie moyenne de 15 ans selon l’INSEE, si la personne est âgée de 75 ans. Pour être une propriétaire d’une maison en viager, les attentes sont certes longues, mais si le décès survient avant cette période préalable, l’acheteur devient ainsi propriétaire d’une maison à un prix très attractif.

Notion d’aléa viager : une chance pour améliorer la qualité de vie de vendeur !

À côté de cet évènement très malheureux, les avantages en pleuvent. Si on ne compte que suite au reversement du bouquet viager, ou 20 à 30% du prix de vente de la maison, le propriétaire aura les chances d’effectuer ses projets de rêves comme la possession d’une voiture, les voyages, les vacances. De plus, alors qu’il bénéficie une rente viagère mensuelle sans avoir à être délogé, il pourra avoir une meilleure qualité de vie. En ajout, s’il venait à mourir le jour du contrat ou vingt jours après, le contrat demeure nul et revient au successeur. De même, si un loyer dérisoire a pu être constaté par le notaire.